• Allez, un p'tit tour chez les écolos, c'est bon pour la santé ;-)
    L'écologie se veut rassurante et rationnelle (tiens, je viens de remarquer que dans "rationnelle" y'a "ration" ! lol). Pour moi l'écologie ça ne peut pas être un parti politique parce que c'est seulement une façon d'être et/ou une façon de faire. Parce qu'on a oublié un "avant" au profit d'un "après" tout en exagération... Je cautionne ce que j'ai reçu par mail (merci de l'envoi ;-) c'est un peu long mais l'écologie le vaut bien :

    "Seuls les + de 40 ans peuvent comprendre... ! Et encore pas tous !

    A la caisse d'un supermarché, une vieille dame prend un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit :
    - Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !
    La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
    - Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps.
    Alors qu'elle quitte la caisse la mine déconfite, la caissière ajoute :
    - Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !
    Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : Les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    Elle ajoute :
    - De mon temps, on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d’ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues. On marchait jusqu'à l'épicerie du coin. Mais c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements sur une corde à linge, pas dans un machine de 3000 watts. On ravaudait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une soeur à l'autre. Mais vous avez raison, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On n'avait qu'une seule télé (quand on en avait une) ou une radio dans la maison, pas une dans chaque chambre. L'écran télé était de la taille d'une boîte de pizza, pas de la taille de l'État du Texas. On avait un réveil qu’on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas : on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.
    Quand on emballait des éléments fragiles, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
    On n'avait pas non plus de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées : on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon. On travaillait physiquement : on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo. On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale, et maman, comme service de taxi 24 heures sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient : pas un cartable tous les ans, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée. Et on ré-utilisait le papier même griffonné pour en faire du brouillon. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste...
    PARCE QU'ON ETAIT ECOLO, ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT"

    L'écologie et la facilité : tout et son contraire ? 


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  • Changement de programmes à venir : la fusion de france2 et france3 ! Pardon, pas "fusion" mais "intégration" : si la première peut faire bouillir, la seconde est plus trompeuse judicieuse...

    J'suis curieuse de voir comment ça va se passer : une seule rédaction, c'est ça ? et l'objectivité elle va passer où ? Je trouvais que france2 et france3 s'en sortaient pas mal dans leurs différences : comment maintenir ces différences avec une seule rédaction ?

    C'est vrai que quand on "intègre", on ne licencie pas... mais on n'est pas non plus obligé de licencier quand on fusionne : pourquoi cette insistante nuance de vocabulaire ? Pour rassurer les syndicats peut-être ? En tout cas on n'en a pas entendu parler... à croire que quand ça concerne la caravane publique, Montebourg n'aboie pas !?

    Ce qui sous-entendrait que la soit-disante "défense des travailleurs" de la gauche n'est qu'un savant maquillage : de la poudre aux yeux... Faute d'allumette (propriété exclusive des syndicats et des medias), on pourrait mettre des lunettes pour mieux voir ce qui se joue... derrière l'écran ;-)

     


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  • Haaa la culture... son ministère en fait les frais parce que Mme Filippetti a mis les pieds dans le plat ! C'est sûr que ces dépenses ne sont pas prioritaires dans la conjoncture actuelle, si ce n'est la "construction" elle-même qui génère un peu de boulot. (source)

    Des millions (et des millions) non dépensés, ça se défend largement. D'autant que la remise à plus tard n'a rien de gênant, ça laisse le temps de se pencher... sur tout ce qui sert à rien ! Sauf que le ministère de la culture représente un monde... comment dire... complexe. (on va dire ça ;-)

    De par sa nature puisque la simple définition du mot "culture" est subjective (par exemple pourquoi l'école ne serait pas dans le ministère de la culture ? bonne question non ?), et aussi de par son intérêt... lié à cette définition subjective : pas facile d'entrer dans cet univers et de s'y retrouver... Encore que, ça dépend de l'intérêt en question. (on y comprend plus rien !) (ha bin oui, c'est ça le monde de la culture !)

    Donc, évidemment que ça va ronfler dans les cheminées culturelles : chacun veut tirer profit d'une manne... exonérée de tout un tas d'impositions parce que bien nommée/répartie comme il faut. Zut, va falloir calculer autrement... Si la ministre semble se poser les bonnes questions, on dirait que ses administrés n'ont pas envie de cautionner la réponse... 

     


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  • Suite à l'intervention de Hollande sur tf1, je me cite (!) " le Président de la France et une feuiille de route enfin dévoilée ou le chef du gouvernement et un blabla qui sert à rien ?" je réponds : les deux mon capitaine !

    J'aurais dû y penser avant : interrogé par Claire Chazal, c'était forcément des grandes lignes journalistiques, sur lesquels il a re-re-affirmé sa position et son rôle, mais je trouve qu'il a l'air d'en avoir pris conscience : les boulettes gouvernementales c'est fini (c'est ça le problème d'embaucher des novices !) et va falloir accélérer un peu le mouvement... Il vise 2014 pour voir ce que ça donne... Si on ne connait toujours pas les directives (en discussions) il dit que s'il n'y a pas d'accord trouvé avant la fin de l'année, c'est lui qui décidera... Ca vous rappelle personne ?

    Y'a un truc qui m'a vraiment gênée, c'est qu'il a mis un point d'honneur à : ne pas dépenser un seul centime de plus dans les ministères qui n'étaient pas prioritaires, et que ça n'a jamais été fait et qu'il en est très fier. Mais... dépenser "la même somme" c'est pas ce que j'appelle faire des économies. Surtout quand on augmente les dépenses ailleurs. Alors ? On ne fait pas d'économies mais on augmente les impôts ??

    Bref, si sur la forme il était plus directif "je décide, le gouvernement suivra" (bis repetita : ça vous rappelle personne ?), sur le fond ça pèche un peu. C'est peut-être normal puisque l'interview était basique et que tout est en pourparlers un peu partout. Donc... on attend !

     


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