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    Mélanie Rafin, 280 pages (liseuse)

    "Laure, 30 ans, étudie toujours la littérature en multipliant les diplômes pour échapper à son destin barbant. Ses parents, nobles propriétaires d'un vignoble, la harcèlent pour qu'elle reprenne les rênes du domaine viticole. Comment ça? Tu n'as pas envie de t'enterrer au milieu des vignes pour le reste de ta vie?!
    Alors que son existence semble toute tracée, Laure disparaît.
    Un an plus tard, Damien et Charles, deux profs trentenaires, recherchent un nouveau colocataire. Laure se présente à leur porte encombrée de ses valises et de ses mystères.
    Poussée par ces deux hommes, elle découvre le monde merveilleux de l'enseignement peuplé de profs acariâtres, de directeurs misogynes et de charmants élèves au langage fleuri. Si Charles tente de la soutenir pour s'intégrer dans cet univers hostile, Damien se montre particulièrement odieux."

    le résumé m'a tentée et j'ai bien fait, c'est un bon compromis entre une lecture facile et souriante et les vécus des protagonistes, pourtant pas simples et pas drôles. C'est plutôt sympa à lire, un regard sur l'enseignement qui m'a fait sourire, mais c'est pas ébouriffant non plus : peut-être parce que j'ai du mal avec les personnes qui ne disent pas le pourquoi du comment ? du coup les incompréhensions des uns et des autres = un peu bof. 
    Si j'ai des doutes sur le titre, néanmoins une écriture qui donne envie d'aller au bout :)

    un poisson pas si fourbe ?     

     


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  • L'anglais qui gravit une colline mais descendit une montagne


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    Christopher Monger, 253 pages, Pocket

    "En 1917, deux anglais arrivent dans un village du Pays de Galles. Ils sont chargés d'établir une carte de la région. Lorsqu'ils décident de reléguer au rang de simple colline Ffynnon Garw, fierté des habitants, parce qu'elle n'est pas assez haute, tout le village se mobilise pour surélever la montagne..."

    Une comédie drôle, émouvante et savoureuse portée à l'écran, un film de Christopher Monger et  dont Hugh Grant est l'interprète principal.

    je n'ai pas vu le film mais j'avais lu le livre y'a pas mal de temps > j'ai relu avec le même plaisir !

    Des cartographes anglais qui disent à des gallois que leur montagne est une colline ?? c'est juste impossible et c'est branle-bas de combat... pour tout le monde ! C'est facile à lire, j'ai parfaitement imaginé les lieux et l'ambiance du village : les personnages sont touchants de simplicité dans cette aventure humaine, tant pour les gallois que pour les deux anglais ! Et quelques noms gallois en font un tout très sérieusement... drôle et attachant :)

    Un anglais qui a bien fait :   

     


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    M.C. Beaton, 316 pages, Albin Michel

    "Noël a été décevant dans les Cotswold, fief d’Agatha Raisin. Pour réchauffer les cœurs  et  les estomacs, le petit village de Winter Parva propose une fête avec costumes, danseurs folkloriques et cochon de lait rôti.
    Amatrice de barbecue, Agatha Raisin se jette sur l’occasion. Le tournebroche qui grésille a de quoi ravir les foules par cette journée brumeuse ! Mais lorsqu’on découvre que la bête n’est autre que le policier Gary Beech, assassiné et embroché, la fête tourne au cauchemar. Et celui-ci ne fait que commencer…. Car quelques jours plus tard, Amy, l’ex-femme de Gary, est retrouvée morte elle aussi. Cochon qui s’en dédit : Agatha se jure d’arrêter cette boucherie. Et de devenir vegan !"

    Agatha Raisin c'est -pour moi- comme une bonne BD : je suis sûre de passer un bon moment, pas de prise de tête, une lecture plaisir garanti :)
    Je n'avais même pas lu le 4e de couverture, du coup j'ai apprécié l'aventure surprise ! Agatha toujours aussi active, volontaire, rentre-dedans... mais aussi mère-poule, son équipe ne la lâche pas malgré les dangers, même James revient sur le devant. Donc du monde et ça bouge pour mieux s'entraider...
    L'air de rien par l'intermédiaire d'Agatha qui n'est pas du genre à suivre la bien-pensance, l'auteur met le doigt sur les idées sociétales, bonnes ou pourries... 

    lol : pourvu qu'Agatha ne change pas ! 

     


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    Liane Moriarty, Le livre de Poche, 624 pages

    "Imaginez un terrain de tennis. D’un côté, un couple modèle, heureux en mariage depuis cinquante ans. De l’autre, leurs quatre enfants, soit la panoplie du bonheur. L’enjeu de la partie ? Le grain de sable qui a enrayé une mécanique jusqu’alors parfaitement huilée, dévoilant des failles et des rivalités insoupçonnables, transformant les membres d’une famille idéale en de redoutables adversaires. Que le meilleur gagne !
    Et si nos proches étaient... nos pires ennemis ? Avec un savant dosage d’humour, de suspense et de poil à gratter, Liane Moriarty appuie là où ça fait mal. Pour notre plus grand plaisir !"

    d'abord j'ai dû m'enlever de l'esprit que Moriarty (l'auteur) n'avait rien à voir avec Sherlock Holmes ;)
    ensuite l'image de la couverture : non non, c'est pas un smiley ! (hi) 
    Une histoire de famille qui joue, tous ou presque, au tennis... [je précise : rien de technique !] Au début j'ai eu du mal à comprendre la narration passé/présent, où chacun raconte à sa façon, j'ai pas trouvé ça super fluide et j'ai dû m'accrocher. Mais j'ai bien fait : à un moment ça s'éclaire, et ça m'a embarquée ! 2 adultes et 4 enfants sur fond d'esprit -d'éducation- de compétition, forcément y'a des tensions, mais pas celles auxquelles on s'attend ! C'est une histoire dans l'histoire... jusqu'à la fin, terriblement... inattendue elle-aussi...

    du coup j'trouve le 4e de couverture un peu bof, le livre :  

     


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