• Ou l'onomatopée saisonnière qui est mienne en ce moment.
    Outre ce bruitage, plus ou moins bruyant d'ailleurs, le nez dévoile d'un seul coup ses amis proches : les yeux, qui, mécontents d'une voie nasale un peu bouchée, se mettent à larmoyer pour rien, et la gorge qui, à l'étage du dessous, subit la mauvaise circulation verticale et donc, s'engorge d'une toux guturale.

    Les kleenex sont partout pour être pas loin, la tête est embuée par un nuage de coton, le dos est fourbu (mais de quoi ?), pendant que l'aspirine et le doliprane se font des politesses dans la suite de maître fervex...

    Qu'il est pénible le temps du rhume !

     


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  • Et voilà, la froidure est là.
    Et bien là ! Gelées nocturnes qui réveillent au petit matin, le blanc n'est pas encore de neige mais ça ne saurait tarder. A minuit, il faisait +4° en ville mais -2° en campagne : voilà pourquoi la soupe bien chaude est typiquement rurale !

    Dehors, le jardin est statique de froid et encore engourdi de la nuit, pas un souffle d'air, pas un bruit, comme si rien ne souhaitait déranger cet état frileux. Dedans, feu de cheminée qui crépite, bol de thé fumant, les chats lovés dans leurs paniers, une douceur de vivre au ralenti.

    Alors les frimas, vous êtes sympas, vous restez dehors !

    C'était la minute météo, à vous Cognacq-Jay.


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  • Je me suis amusée à aller voir "Articles les plus lus" chez mon ami Google.

    L'article qui arrive en tête n'est ni politique, ni catastrophique, ni d'actualité (c'est à dire pas sur les pages France ou International), ni faits divers (quoi que), c'est... le divorce de Parker/Longoria : vus 588 fois en 2h --au moment où j'écris-- contre vus 86 fois pour l'article qui arrive en deuxième ("licenciés pour avoir médit sur Facebook").

    Si ça en dit long sur l'intérêt des internautes ;-)   les industries du people n'ont donc pas de souci à se faire. Ouf, ça fait du bien de constater qu'il y a des entreprises qui ne sont pas prêtes de s'écrouler !


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  • Pluie aux averses déprimantes, vent aux rafales ébouriffantes, on peut dire que c'est un temps pourri !

    A croire que pour accéder au beau temps, le mauvais temps est incontournable. Je pense que oui. En tout cas dans nos contrées.

    Le climat s'impose quoi qu'il arrive, on n'y peut absolument rien, c'est comme ça, youpi !

    C'était la minute météo, à vous Cognacq-Jay.


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