• Lu : Si on dansait


    (clic)

          

    Rachel Joyce, Pocket, 392 pages

    "À Londres, au bout d'une impasse délabrée, Frank n'est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie.
    Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d'un regard pour savoir quelle musique apaisera les tourments de son client. C'est ainsi qu'il fait la rencontre de Lisa, une mystérieuse femme au manteau vert. Lui qui ne croit plus en l'amour sent son cœur vibrer à nouveau. Jusqu'au jour où il découvre le secret de Lisa..."

    [le titre fait penser au film  Shall we dance ?  mais nan : ça n'a rien à voir.]

    L'histoire est originale dans un Londres des années 80 et sa société en mutation. Les protagonistes sont touchants, les lieux sont attachants, le tout est rythmé par plein de musiques, aussi différentes que salvatrices... pour qui sait "écouter". Et ça fait du bien je trouve ! J'avoue que j'ai trouvé le Morceau caché  presque trop rapide après le long silence...   Mais il  est finalement réconfortant :)

    ♫♪♪♫♫♪♪♫♪  : 

    @ Pixelie25 : plein de musiques différentes et leurs éclairages, curieusement ça m'a fait penser à toi  dis donc  :)  

    « Le Code Civil n'est pas source de justice ?Paralympiques : à vous de jouer ! »

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  • Commentaires

    1
    Lundi 26 Août à 11:19

    Bonjour Pipiou

    Il a l'air très intéressant ce livre,

    a voir,  oups non a lire yes

    Je te souhaite un bon début de semaine, bises 

      • Mercredi 25 Septembre à 10:49

        Bizitou et Bonne semaine à toi Louvya !
        (avec juste un mois de retard, sorry)

    2
    Mardi 24 Septembre à 10:35

    Bijour bijour !

    Unity Street... un joli nom pour une drôle de rue.

    Je suis allée en voir un peu plus car dès qu'il est question de musique, ça me titille la curiosité.

    J'aime beaucoup la façon dont l'auteure envisage la musique : elle relie et elle soigne voire guérit. Ce n'est pas moi, qui parle souvent de "catharsis", qui lui dira le contraire.
    Le choix de placer l'intrigue dans les années 80 n'est pas anodin : crise économique britannique, thatchérisme, société paupérisée... j'ai pensé à la grande vague du punk, expression du désarroi.

    Ça donne envie de lire ce roman.

    Bibisouilles !

    P.S. : Je suis plus Peg que Frank happy

      • Mercredi 25 Septembre à 10:52

        Bijour Pix

        bonne lecture,
        ça se lit bien et c'est écrit gros

        Aucun doute sur le "Peg" ;)

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