(clic)
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Michel Bussi, 480 pages, Ed° Presse de la cité
"Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?"
En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort..
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Comment dire... au début ça va mais ça devient long, et lent... donc de plus en plus long ! Les aller-retours entre 1999 et 2019, pfououou, j'avais l'impression que ça n'avançait pas et que je faisais du sur-place. À certains chapitres je me disais "encore ?"
Bon, la fin éclaire un peu sur le pourquoi du comment mais à part ça... j'étais contente d'avoir fini !
J'aurais dû rêver tout court (lol) :
en lisant le résumé ça m'emballait pas et tu me le confirmes. Je lis en ce moment l'histoire du castrat FARINELLI, bises