A l'heure du souvenir de la Victoire (1945, fin de la seconde guerre mondiale) (donc de 1939 à 1945, au cas où) je me dis que cette Victoire, elle n'est plus que dans les musées et dans quelques esprits.
Victoire de la combativité, victoire de la fierté tenace, victoire de l'engagement, victoire des pays, enfin unis dans un seul but : faire cesser l'inacceptable et rendre à l'homme ses différentes libertés.
Wouaaaah, c'est beau ! Mais quand je vois ce qui se passe un peu partout, je me dis qu'il est bien loin l'engagement commun ! On a beau se pavaner d'être des pays libres, forts, industrialisés, (plus pour longtemps ;-) et évidemment culturés, on n'est pas foutu de sauver... notre avenir !
L'avenir de nos enfants, l'avenir de la planète, l'avenir des énergies, l'avenir des mutations diverses et variées (pourtant déjà en cours), l'avenir... ou l'à venir ? dans les deux cas : il est incertain. Et pourtant on s'en fout, tout ce qu'on veut c'est, pour résumer, garder nos confortables acquis.
Je trouve que les combattants d'hier sont autrement plus courageux que les victorieux d'aujourd'hui.
(nan c'est pas glauque, ça colle juste au 8 mai, de 45 à nos jours ;-)
Bonjour chrysopolis,
à mon avis faut pas non plus tomber dans le pathos et l'inénarrable : heureusement (aussi) que le temps passe. Ça permet (aussi) l'existence de nouveaux héros, pour d'autres causes.
N'empêche que sous le prétexte du collectif, je trouve qu'on est devenu drôlement individualiste...
Je disais donc ... ma fête à moi, c'est le 4 février.
Mais je dis ça, je dis rien.
C'était juste pour dire.
ok d'acc Bicar : j'ai mis des alertes sur ordi, smartphone, tablette et calendrier perpétuel, pourvu que j'oublie pas !
tu vois même quand tu dis rien, c'est important ;-)
Bonsoir Pipiou, Je suis contente de te retrouver.
Parfaitement les combattants d'hier étaient de véritables héros mais aujourd'hui : tout le monde s'en fout
FLEUR de Provence