• Pluie aux averses déprimantes, vent aux rafales ébouriffantes, on peut dire que c'est un temps pourri !

    A croire que pour accéder au beau temps, le mauvais temps est incontournable. Je pense que oui. En tout cas dans nos contrées.

    Le climat s'impose quoi qu'il arrive, on n'y peut absolument rien, c'est comme ça, youpi !

    C'était la minute météo, à vous Cognacq-Jay.


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  • Une pub pour le Crédit Mut : un père et son fils adulte discutent, en gros : "ne croie pas les assureurs mon fils". Et le père de dire à son fils "j'ai une mauvaise nouvelle pour toi, le Père Noël n'existe pas".

    Sauf que cette pub a été diffusée juste avant le film "Ratatouille" et que les enfants étaient devant la télé. Et sauf qu'avec les enfants devant la télé, y'avait leurs parents : bingo : la polémique était née : "C'est une honte, comment peut-on diffuser une pub pareille à ce moment là ?"

    Mais... ne peut-on pas simplement expliquer à l'enfant que... c'est de la pub ? Et lui expliquer qu'il ne faut pas TOUT croire de la pub, que c'est des mots qui sont dits dans le seul but de vendre un produit ?

    A croire que les parents n'ont même plus envie de passer les 5 mn nécessaires à l'explication et à l'apprentissage de leurs enfants. Le rôle des parents n'est-il pas d'éduquer l'enfant ? L'éducation ne passe-t-elle plus par l'explication, au moment où l'enfant la réclame ?

    Parce que, sérieusement, combien d'enfants auraient "retenu" l'info... après le film ?
    Parce qu'un rat, ami de l'homme et travaillant dans une cuisine, ça choque pas ? Ah bin non, c'est un dessin animé : les parents ont-ils expliqué à leurs enfants la différence ?

    Bref, polémique débile à mon goût. A moins bien sûr d'être de la famille du Père Noël !

    Edition du 12 nov : ayé, la pub a été modifiée, ils ont coupé le passage diabolique ! Les enfants n'auront plus à réfléchir, ouf !


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  • Plus on est informé, plus on sait, et moins on prend de responsabilité.

    Conclusion à laquelle je suis arrivée la dernière fois que j'ai déplié une notice qui accompagnait un simple pshitt nasal. Quand le dépliage de la notice a été fini, j'avais plus grand qu'une feuille A4 (bien sûr écrit en tout petit), "en plusieurs langues, c'est normal" : que nenni, tout en français !
    Et à la lecture, j'ai eu le sentiment de rajeunir... mais pas en "youpi", parce que là, c'était trop, on me prenait pour une débile !

    Les labos (puisque je parle d'un médoc) doivent non seulement faire des produits efficaces et sérieux, mais ils doivent anticiper... TOUT ce qui peut être fait du produit ET de son conditionnement, mauvais usages qui seraient bien sûr défendables par l'inévitable cri du désespoir "je savais pas".

    Avant, quand on savait pas, on se renseignait et on était fier d'avoir appris ; aujourd'hui quand on sait pas, c'est parce qu'on nous l'a pas dit : flagrant délit de fainéantise, non ?

    Mais c'est pas grave puisque l'irresponsabilité des actes est désormais totalement admise... A deux sur une mini-moto ? un surendettement ? une visée au laser ? Qu'importe la responsabilité de l'acte, seules les conséquences de l'acte sont prises au sérieux.

    Prendre ses responsabilités ne sert plus à rien, c'est malheureusement bon à savoir  ;-)


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  • Livres lus de Patricia Cornwell

    "Ce registre où la morgue inscrit tous les décès va bientôt prendre une signification différente pour Kay Scarpetta. Nouvellement installée, elle va entrer en conflit avec les politiciens locaux lorsqu'une série de morts violentes intervient, sans aucun lien entre elles. Le registre se remplit..."

    Je crois qu'il faut avoir lu les précédents pour piger tout la problématique relationnelle entre les 4 personnages principaux, décrite dans ce livre. J'ai lu toutes les enquêtes de Kay Scarpetta : à vouloir trop éditer, ça tue un peu le plaisir de la lire : ça devient compliqué de s'y retrouver dans les psychologies des personnages récurrents et côté scénar, c'est toujours un peu pareil... j'ai pas super aimé, j'suis allée au bout mais je n'aurais peut-être pas dû : pas grand souvenir et même déçue.

    On est très très très loin de Post Mortem. Beaucoup trop loin.

     


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