A l'heure de la mondialisation, tout a une répercussion percutante ou une incidence incidieuse, un effet papillon désormais incontournable, partout dans le monde.
Les troubles du continent africain nous démontrent les interactions politiques et économiques, ô combien mélées... plus ou moins ouvertement : de la décision d'intervention à l'intervention réelle, tout est compliqué, litigieux et dangereux. Il faut à la fois prendre une position de défenseur, bien vue des droits de l'homme, et une position d'attaquant, mal vue des belligérants.
Que ce soit les contrats d'affaires, les accords internationaux, les ressources partagées, les aides (pseudo ?) bénévoles, les soutiens économiques, tout est lié à tout et chaque décision étatique impacte l'ordre mondial (et accessoirement la tune qu'on se mettre dans la fouille en passant ;-)
Je me dis que c'est pour cela que, face aux rebellions actuelles, il y a autant d'hésitations mondiales, autant de "j'y vais mais j'y suis pas" : l'effet papillon... c'est beau que dans le jardin !
+ 1, pour ton chemin tranquille dans le passé :)
et +1... pour les luttes permanentes : le souci c'est que c'est même plus un effet papillon, c'est en direct live et inside, n'importe où et n'importe quand...
Bonjour
retour sur d'anciens articles comme quand je ne vois pas de nouveautés venir
les combats et les luttes sont permanentes dans ce monde, et maintenant ce sont les islamistes qui mènent le jeu horrible