Lettre "i" qui se prononce "aïe" ou "aïl" en anglais, ce "i" là s'impose d'autant plus que le tréma n'est que faune éthique. (le froid a gelé mes neurones ?)
En effet, les "aïe" quelque chose sont de plus en plus représentés, sinon par une pomme, dans notre quotidien, où la technologie portable est désormais intégrée... à tout ce qu'on fait : dans une pub pour de la soupe (de la vraie, pas de la soap !) le portable sert à photographier une jolie image de légumes, pour faire croire que ce sont les vrais légumes achetés pour faire la soupe, alors qu'en fait c'est un pôv' pack tout prêt ; (et photographier un pack, c'est nul !)
Autrement dit, la pub dans la pub, ça marche ! Et les fournisseurs de portables l'ont bien compris : ils sont présents partout, confirmant qu'un téléphone sert à bien d'autres choses qu'à téléphoner. Pauvres de nous : de l'alimentaire à la voiture, en passant par les jeux pour enfants, rien ne se fait sans portable via la pub.
Si la technologie est épatante et ô combien performante, la prise de pouvoir qui est excercée est pour le moins renversante : la preuve, on tombe de haut quand on veut acheter... un simple téléphone : ça n'existe plus. Et la performance de la petitesse disparait au profit de la nécessité de la grandeur : parce que téléphoner ne suffit pas, pour lire, pour jouer, pour regarder la télé, il faut bien voir, donc écrans plus grands.
Mais que mes aïeux se portent bien : si l'âge de la débrouille a laissé place à l'âge de la solution instantanée, le téléphone portable va durer : comme "les applis" évoluent très vite, faut tout le temps... se débrouiller avec !
salut
on attend le portable qui fera friteuse