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remede

Lu : Remède de cheval (n° 2)

Publié le par Pipiou

 

(clic)
   

M.C. Beaton, Ed° Albin Michel, 266 pages

«Après la pluie, le beau temps ! Agatha Raisin est désormais bien installée dans son cottage de Carsely en compagnie de ses deux chats.
Cerise sur le pudding, le nouveau vétérinaire du village ne semble pas insensible à ses charmes. Quand le beau véto succombe à une injection de tranquillisant destinée à un cheval rétif, la police locale conclut à un malencontreux accident.
Mais pour Agatha, dont le flair a permis de résoudre l'affaire de La Quiche fatale, il s'agit bien d'un meurtre. A l'étonnement de tous, le séduisant colonel James Lacey partage pour une fois l'avis de son entreprenante voisine. Et nos deux détectives-amateurs se lancent dans une enquête bien plus périlleuse qu'ils ne l'imaginaient....»

Après avoir relu 3 bouquins dont 2 Agatha Christie, je retourne au Raisin ;)
NB : pour moi faut commencer par le début (par là)  parce que c'est le déclencheur.

Dans mon imaginaire Agatha serait un mélange de Catherine Jacob, Bernadette Laffont, Michèle Laroque et une autre dont j'arrive pas à me souvenir du nom (1) = l'ambiance est plutôt bonne !  Un tome II qui nous en dit aussi un peu plus sur chacun et qui ouvre des portes quant à l'évolution potentielle des personnages.  Une enquête l'air de rien (ou presque !) au milieu de la vie quotidienne d'un bourg où tout le monde se connait et se croise, au pub comme dans la rue, même quand Agatha préfèrerait les éviter : 

c'est vivant et sympa, quelque part un bon remède  !   

(1) comédienne, actrice française, cheveux courts blonds, à la voix très parisienne pour ne pas dire "poissonnière" : une idée quelqu'un ?
j'ai retrouvé : Chantal Ladesou

Lu : Remède mortel

Publié le par Pipiou

Harlan Coben , Pocket, 505 pages :

"New-York, fin des années 1980. Le docteur Harvey Riker a peut-être découvert un vaccin contre le sida. Une formidable avancée qui, cependant, gêne certains intérêts et lobbies. La mort de l'associé d'Harvey et les meurtres sauvages de deux de ses patients pourraient bien être une menace personnelle."


La couverture est bizarre : "Harlan Coben" en supers gros caractères bien voyants, comme si le titre du bouquin importait peu ! (i s'la pèterait pas un peu le Coben ?) Cela dit, quand j'ai lu l'avant-propos, on va dire que j'ai compris. (sauf que toutes ses couvertures sont nominativement exagérées : i doit s'la péter un peu quand même !)

Bon c'est pas tout ça, le bouquin ! Évidemment, ça interpelle. Parce que ça parle d'une plaie béante et d'un éventuel sparadrap qui coûte finalement cher, très cher... A trop y croire ne finit-on pas par s'y perdre ? c'est ce que j'ai retenu : la volonté de bien faire, mais à quel prix ?

      Lu : Remède mortel

(vide parce que j'hésite entre "mouais..." et "pourquoi pas ?")