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jaunes

La pseudo "défense" est d 'une pauvreté...

Publié le par Pipiou

Ce matin le ciel est blanc-gris de nuages plus ou moins épais, les feuilles et les fleurs sont humides, le fond de l'air est aussi doux que menaçant. Ça va probablement être comme ça toute la semaine...

Et je zappe les infos, horrifiée des comportements minables de gilets jaunes and Co... Où est passé l'humain normalement capable d'un minimum de raison ? Pour obtenir des aides on scande le suicide des forces de l'ordre ?? C'est insupportable de connerie, d'ignorance, de méchanceté et d'inadmissible provocation.  Mais "nous on est pacifique on cautionne pas" : bien sûr que si vous cautionnez puisque malgré TOUT ce qui se passe chaque samedi, vous continuez d'être le théâtre d'ignominie sans nom.

L'humain capable de raison n'est plus. Il n'agit plus qu'en mouton, en suiveur de leaders qui n'en sont pas, et qui ne font qu'engranger des clics et des j'aime. Mais ça c'est pas être leader, c'est être égocentrique. Cette nouvelle société où les réseaux sociaux (c'est leur nom) font loi, c'est dramatique pour la responsabilisation de l'homme. 

Certes ces réseaux sont capables d'actions sociales, utiles et efficaces, mais TELLEMENT de mauvais actes, c'est un défouloir sans nom. Que les moutons s'empressent de suivre. Pire, ils en sont fiers ! Mais COMMENT être fier de tels dégâts ? de cette volonté de destruction, matérielle et humaine ? Je comprends pas, je suis exaspérée de ces critiques systématiques, de ces défendeurs purement opportunistes, de ces propos si égoïstement stériles, et de ces actions sans nom qui sont applaudies :

elle est surtout là, la -dangereuse- pauvreté...

 

Des gilets pas très sociaux

Publié le par Pipiou

j'ai vu des images, et j'ai regardé ailleurs tant j'étais écœurée, des violentes casses jaunes. Hein ? oui. J'associe les deux mots. Parce que si participer à une manifestation ne veut pas dire "être actif à tel moment", ça veut quand même dire participer.

Je ne peux pas imaginer comment on peut rester à regarder, téléphone à la main, ou applaudissant des flammes, hurlant de joie quand ça casse, ou laissant faire des bastons contre des forces de l'ordre : ça m'est incompréhensible. 

J'ai une p'tite question : combien de casseurs pour combien de gilets jaunes ??? S'ils étaient si fiers de leurs actions les gilets jaunes, s'ils avaient un soupçon de respect pour le français lambda qui a malheureusement garé sa voiture là, ou pour le travail du vendeur dans un pov'kiosque à journaux, ils ne laisseraient pas faire ce déferlement de hargne destructrice. Comment peut-on être fier de ce qui se passe ?? À moins que ça les arrange que d'autres cassent pour eux ? 

C'est quand même con qu'après autant d'évolutions on régresse autant ! 

A contrario, si les gilets jaunes empêchaient les violences et s'imposaient en tant que force bénéfique pour défendre et protéger chacun, ALORS LÀ, ça démontrerait que la solidarité est vraiment collective.

Ce qu'elle n'est évidemment pas ! En dehors des réseaux sociaux...

 

"Cagnottes" (et noms d 'oiseaux)

Publié le par Pipiou

Qui veut une cagnotte ? Elle est belle ma cagnotte, elle est fraiche !

parce qu'apparemment c'est la mode, y'en a plein le Net, et y'a même des batailles de cagnottes dis donc ! oh  (comme quoi quelque part y'a de la thune...)

Outre la bonne vieille participation à un regroupement commun pour un plus gros "plaisir d'offrir", la cagnotte devient une espèce de... moyen de pression ?  

Sauf que pour moi c'est plus des "cagnottes" : c'est des aspirateurs à connerie ! Et Dieu sait (s'il existe) que les conneries non seulement font rage en ce moment mais elles s'installent dans le pays...

On est vach'ment logique en plus : on gueule après les banques "qui s'en mettent plein les fouilles", mais on adore utiliser, par exemple, la cagnotte Leetchi. Mais Leetchi : c'est le Crédit Mutuel. Le pot commun ? c'est Banque Populaire Caisse d'épargne. Papayoux ? c'est BNP Paribas. [source↗]

Bon allez, c'est pas tout ça mais j'ai un pot commun à faire à l'extérieur, un vrai, avec tout plein de bonnes graines pour les oiseaux  he wink2  

 

Des ronds-points sans priorités ?

Publié le par Pipiou

Après 4 we de galère, des ronds-points aux commerçants en passant par les particuliers dont les voitures ont été cramées et les destructions de tout et n'importe quoi, le président a donc parlé : 

état d'urgence sociale, trop de gestions/décisions qui oublient que les français ne sont pas tous parisiens (ha bin quand même !)   

- prime d'activité 100€ de plus, par mois, pour les salariés au smic
- prime de fin d'année, si possible (avec la casse de ces derniers we c'est pas gagné...)
- heures supplémentaires défiscalisées
- pas de hausse de CSG sur les retraites de moins de 2000€
et remise à plat des gestions/décisions pour une autre organisation + territoriale.

J'ai malheureusement entendu dans la foulée "c'est pas ce qu'on veut, nous on reste là [sur le rond-point]" et un Mélenchon qui nie, dénonce, et appelle à l'Acte 5 !

Ce matin je jette un œil sur les décorticages divers, sur le fond et la forme (perso la déco du bureau j'en avais rien à foutre, y'avait vraiment que ce qu'il disait qui m'intéressait) et j'hallucine un peu sur les constats : peu de positif, peu d'encourageant, des analyses ponctuées de point d'interrogation, des estimations négatives...

On a donc vraiment perdu la boule ? Tu m'diras, à force de tourner en rond sur les ronds-points...  On n'entend pas "les mots" qu'on veut entendre alors on jette tout et on dit que c'est pas bien ? 

Je vote pour un ouragan, un tremblement de terre, ou encore une énooooooorme tempête de neige (c'est de saison) avec un gros black-out tout partout en France. En plus de faire un peu de ménage, ça permettra (à ceux qui restent) de revenir aux vraies priorités, en commençant par réfléchir un minimum !

 

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