Eklablog
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peur

Gens sans peur

Publié le par Pipiou

Dans les séries américaines on dirait bien que les femmes prennent le pouvoir... Murder, ScandalThe good wife : si la première joue avec le feu, les deux autres n'hésitent pas à l'entretenir ! 

(je viens de penser à "Damages" : autre style autre pouvoir, celui de Glen Close...)

Bien que ce soit des "séries-télé", donc romancées  diaboliques à souhaits, je me dis que les ricains sont très forts : capables de semer le doute tout en levant la main droite, presqu'une autodérision... pas du tout drôle ! mais alors pas du tout !

Pouvoirs politiques et pouvoirs juridiques : l'image est impressionnante de vrais semblants (!) et quand elle est écornée c'est pour mieux déchirer ! Tant pis si c'est pas joli-joli : le but c'est de s'en sortir.

Donc ne jamais abandonner. Ne jamais croire qu'on n'est pas capable. Et toujours penser qu'on va gagner, quel que soit le moyen.

La justice et la politique finalement, pétard,  ça fait peur !


PS : gaffe à ne rien dévoiler des séries/saisons, certaines "en cours", merci (bon ok "à la fin i meurt" : ouarf ouarf)

 

Lu : Peur noire

Publié le par Pipiou

Livres lus Peur Noire, de Harlan Coben (Poche, 410 pages)

'Alors que sa vie professionnelle comme agent sportif semble piétiner, et que son père se remet non sans mal d'un infarctus, Myron Bolitar est brutalement précipité dans une affaire dont il se serait bien passé. Son ex-petite amie, Emily Downing, qui l'avait plaqué pour aller épouser son pire ennemi, resurgit dans sa vie en réclamant son aide : elle a un fils de 13 ans atteint de l'anémie de Fanconi. Seule une greffe de moelle osseuse pourrait désormais le sauver. Sauf que le donneur compatible inscrit au fichier est introuvable. Pire, il semble vouloir se cacher. De qui ? Pour quelle raison ? Flanqué de sa garde rapprochée, Myron Bolitar plonge au coeur d'une histoire familiale sombre et vénéneuse, qui l'implique de manière très... personnelle."

Je confirme l'histoire : "sombre et vénéneuse"... Si j'étais bien contente de retrouver Myron Bolitar, j'ai été un peu déçue globalement, trop de méandres dans lesquels je me suis un peu paumée : je l'ai lu sans être très attentive parce que ça ne m'a pas passionnée.

Ca manque de légèreté, même si le sujet ne s'y prête pas : le duo Myron/Win ne fonctionne pas à sa hauteur, l'humour caustique est remplacé par la violence et l'insouciance par la lourdeur : Coben, tu peux relire tes premiers écrits s'il te plaît ? Parce que je risque de ne pas lire tous tes suivants !