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festival

Le cinéma "non genré", ça réduit les prix

Publié le par Pipiou

Une nouveauté qui fait je sursaute dans ma boîte (genre pois sauteur qui hallucine ;)

Le festival international (donc pas un petit festival) du film de Berlin, s'appelle la Berlinale. Jusque là ça va he

La Berlinale a décidé de supprimer les distinctions "meilleur acteur" et "meilleure actrice" de sa compétition et de les remplacer par un prix d'interprétation "non genré". (c'est à dire "sans genre" féminin ou masculin)

Soyons sérieux : un prix, quel qu'il soit, sera toujours masculin

Ça me parait complètement dingue : on en est là ??? Si on ne fait plus de distinction entre les hommes et les femmes -dans le cinéma- ça va être un beau bordel ;)
La femme et l'homme doivent donc s'effacer et disparaitre, en vrai, derrière le rôle qu'ils jouent ? Si ça continue va falloir s'excuser de ce qu'on est !?

Il est dit que c'est pour (je cite) "permettre "une prise de conscience plus sensible à la question du genre dans l'industrie cinématographique".

"la question du genre dans le cinoche" ? Parce que y'a une question du genre dans le cinoche ? y'en a qui n'ont vraiment rien à foutre. En quoi ça va pas aider une prise de conscience "plus sensible" ? c'est plutôt une prise de conscience à la con, une réflexion et une décision qui me paraissent d'autant plus débiles que je lis :

(je cite) "en remplacement du meilleur acteur et de la meilleure actrice : un 'Ours d'argent pour la meilleure interprétation dans un rôle principal' et un 'Ours d'argent pour la meilleure interprétation dans un second rôle' seront attribués".

source↗

On parlait de performance d'acteur et performance d'actrice > ça devient rôle principal et rôle secondaire ?? Heû... Faut arrêter de fumer le tapis rouge les gars !! Et p'têt revoir le coût de ces prix...

 

Art martial mais galamment artistique !

Publié le par Pipiou

Merci A ;)

Gala Festival de Printemps 2019 : wouaaaah, les chinoiseries sont martiales mais rigoureusement  artistiques :) 


 source↗   

 

Cannes : 2 semaines sur fond rouge

Publié le par Pipiou

Aujourd'hui c'est l'ouverture du 68éme Festival de Cannes. Si c'est bien à Cannes, j'ai un doute sur le "festival"  he

Au fil des années il a grandi et il a grossi aussi : de plus en plus de monde... super chic avant tout. Une espèce de glamour à la française qui se veut classieux, mais de plus en plus inaccessible et de plus en plus réservé à.

Si Cannes a réussi à faire perdurer le Festival et c'est très bien, j'ai l'impression qu'elle n'a pas su maintenir une fête cinématographique grand public : aujourd'hui c'est VIP and Co et journalistes d'abord, puis c'est sur invitation seulement, dont 750 cannois invités, sur tirage au sort.

Du coup je me sens pas super concernée, et j'en suis, même pas, un p'tit peu fière : un monde qui s'autosatisfait, où chacun profite de l'occasion pour placer le mot qui va faire le buzz (ça me fait penser à la pauvre cérémonie des Molières !)  et où chacun se débrouille pour être, sinon le mieux placé, le plus visible...

Heureusement y'a quelques basiques qui se retrouvent : les tenues de soirées, les nœuds papillon, les décolletés (voire les transparents), un défilé de tout un tas d'huiles, de palmes (hihi) décernées selon on ne sait quelle analyse moralisatrice du moment...

Finalement le seul truc immuable et à jamais représentatif, sinon du cinéma, du vrai défilé chic : c'est le tapis rouge  ;-)

 

Festival de cinémas...

Publié le par Pipiou

Dur dur de parler Cinéma, quand ça devient peopolisation et/ou actualités. C'est pas la 67ème édition du Festival de Cannes qui dira le contraire.

De Grace de Monaco à DSK, on peut difficilement mieux balayer l'étendue des pouvoirs... L'une mondialement connue pour sa beauté et l'autre (mondialement aussi ?) pour son déséquilibre d'homo-erectus, les deux ont fait des ravages...

Forcément le cinéma (devrais-je dire "l'industrie du cinéma" ?) se dit que c'est rentable et qu'il y a forcément de l'argent à gagner parce que ça va faire un carton c'est une histoire de gens célèbres, avec tout ce qu'elle a de beau et de pervers et que son adaptation va plaire au (grand) public, avide de Gala...

Alors de récits en racontars, d'images d'archives en photoshop, de faits en imagination : pouf : le film est à l'affiche, placardé partout (merci Giraudy) on peut pas y échapper. Sauf quand un réalisateur décide de ne pas passer par les chemins officiels de la distribution cinématographique : pouf : le film est on the web, distribué partout (merci les réseaux).

Bien ? pas bien ? j'en sais rien (de toutes façons j'irai voir ni Grace ni DSK, aucun des deux films ne m'intéresse) mais c'est un signe de mutation qui confirme que le monde change... (mais pas les tarifs : 7€ pour un film en ligne ;-)

Perso je vais garder en tête que le Cinéma... c'est juste du cinéma !

 

Combien de sucres ?

Publié le par Pipiou

Voilà un p'tit sourire plutôt sympa en début de semaine non ?

ce qui m'épate dans cette photo ou plutôt chez cette personne, c'est qu'elle semble juste
- heureuse (et ça fait du bien à voir ;-)
- en dehors du temps (et ça fait aussi du bien à voir ;-) (ou pas ;-)

Trois jours de "festival Tokyo Crazy Kawaii" au Parc floral de Vincennes, ça mérite le détour, par là : source & images.

Au vu des photos : un côté joyeusement fantastique et doucement irréel... un autre côté terriblement gamin et un grand "n'importe quoi" garanti !? Finalement y'en a un peu pour tout le monde et c'est probablement tant mieux ;-)

mon Top : la n° 1 : la plus simple et quelque part, la plus naturelle
mon Flop : la n° 10 (trompe-l'oeil raté ?) (mais j'ai vraiment beaucoup hésité avec la n° 21...)

Le kawaii : avec ou sans sucre ?