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drole

Histoire drôle :)

Publié le par Pipiou

Après avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre, le chauffeur réalise que le Pape reste sur le trottoir.

- Excusez-moi, Votre Sainteté, dit le chauffeur, voudriez-vous, je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?

- Heu... Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me laisser conduire au Vatican, et j'aimerais beaucoup pouvoir le faire aujourd'hui.

De mauvaise grâce, le chauffeur passe à l'arrière et le Pape s'installe derrière le volant. Très vite le chauffeur regrette sa décision, quand après avoir quitté l'aéroport, le souverain pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu'à 200 Km/h...

- Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez ! implore le chauffeur très inquiet, mais le Pape continue jusqu'à ce que les sirènes de police retentissent.

Le Pape se range sur le côté et baisse sa vitre quand le policier s'approche, mais dès qu'il voit le Pape il retourne à sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu'il a arrêté une limousine roulant à 200 !!!

- Quel est le problème ? Bouclez-le ! dit le chef.

- Je ne pense pas qu'on puisse faire ça, c'est quelqu'un de très important, dit le policier.

- Il n'y a pas de raison ! s'exclame le chef.

- Non, je veux dire... réellement important, dit le policier

Le chef demande alors :

- Qui avez-vous coincé ? Le Maire ?

Le policier : - Plus gros !

Le chef : Un sénateur, un député, un ministre... le président ?

Le policier : - BEAUCOUP PLUS GROS !

Le chef : - Bien ! Dites-moi qui c'est !

Le policier : - Je pense que c'est Dieu lui-même !

Le chef : - C'est quoi ces conneries ? Qu'est-ce qui vous fait croire que c'est Dieu ?

Le policier : Bin… il a le Pape comme chauffeur !

 

Histoire drôle : Le Chevalier noir

Publié le par Pipiou

C'est l'histoire du Chevalier noir.
Il vit dans un grand château fort et il est amoureux de la princesse, sauf que la princesse se fait enlever, dans son château, par deux méchants !
Le Chevalier noir est super énervé, tellement énervé qu'il sort son épée et tue un par un tous les gardes qui ont laissé rentrer les méchants.
Il décide de les poursuivre, prend un peu à manger, un peu à boire et une bourse d'or, et va voir le palefrenier pour avoir le meilleur cheval. Le palefrenier lui dit qu'il a du travail et qu'il ne peut pas, tout de suite, préparer le meilleur cheval. Alors le chevalier noir, déjà bien énervé, sort son épée, embroche le palefrenier, prend le meilleur cheval et hue dia !
Il galope à fond, il galope, et il galope, mais il n'arrive pas rattraper les méchants. Il traverse une forêt et se retrouve face à des brigands qui veulent lui voler son or. Mais le Chevalier noir est déjà super en colère : il taillade dans tous les sens, et les tue un par un. Déjà qu'il était en colère, il sait qu'il a perdu du temps et que ça va pas l'faire...
Il arrive à un pont mais au moment de le traverser, le passeur qui lui dit qu'il faut payer et qu'il ne rend pas la monnaie. Houlà ! (il est con le passeur, il aurait jamais dû dire ça !) Ni une ni deux, le Chevalier noir n'ayant que sa princesse en tête, trucide le passeur et galope sur le pont qui arrive sur un large chemin. Il galope encore (bin oui : il a le meilleur cheval) mais diable, manquait plus que ça : voilà les Sarrasins !
Alors le Chevalier noir, tout énervé qu'il est, et qui en a ras le bol de perdre autant de temps, il fonce dans le tas, il les embroche un par un jusqu'au dernier, et il se remet à galoper... jusqu'à voir au loin les deux méchants et la princesse !
Le valeureux destrier accélère au son de la voix du Chevalier noir, il rattrape les méchants, et plus énervé et plus en colère que jamais, il sort son épée et en deux coups de lame il tranche les têtes des méchants (qui se relèveront pas). Puis il repart tranquillement, avec sa princesse, vers son château fort.
Moralité : le Chevalier noir, faut pas le faire chier !

 

Journal de confinement : histoire d 'en rire

Publié le par Pipiou

(merci MD :)

JOUR 1

Mercredi 18 mars. Premier jour à quatre à la maison. Journée ensoleillée, les enfants ont pu profiter du jardin. Pas encore de nouvelles de la maîtresse, j’imagine qu’il faut le temps de s’organiser. Ce midi, apéritif en famille, jeux l’après-midi ; Mathilde avait fait un gâteau au chocolat pour le goûter. Petit air de vacances !

JOUR 2

Jeudi 19 mars. Première tonte de l’année ! J’adore l’odeur de l’herbe coupée. Les arbres sont en bourgeons, les tulipes sortent de terre, les premiers jours de printemps sont toujours agréables !
Foot avec les enfants qui ont fini par se disputer, comme toujours. La vie s’organise tranquillement.

JOUR 3

Vendredi 20 mars. Les premiers devoirs sont tombés pour Mathis : révisions sur les divisions. Surtout rester calme...
Léa fait des dessins pour papa et maman. Trop mignon.

JOUR 5

Dimanche 22 mars. Le jardin est au carré, on dirait Versailles ! Comme quoi il y a toujours du bon à prendre ! Mathilde a les mains dans la farine la moitié du temps : gare aux kilos en trop !
Léa a épuisé la moitié du stock de pages blanches, c’est moche pour la planète.
Côté divisions, on rame...

JOUR 7

Mercredi 25 mars. Si Mathis me demande encore une fois ce qu’est un dividende, je lui fais manger son cahier !
Léa a enfoncé toutes les pointes de feutres et chouine à longueur de journée.
Mathilde s’est lancée dans la confection d’un gâteau roumain à la purée de marrons et aux pruneaux. Est-ce vraiment une bonne idée ? Le temps commence à sembler long.

JOUR 10

Samedi 28 mars. Je crois que mon fils est con, j’ai abandonné la division. On a une semaine de retard sur le travail envoyé par la maîtresse. J’ai vomi le gâteau aux marrons.

JOUR 11

Dimanche 29 mars. La caisse à outil est nickel, j’ai rangé mes clefs plates par ordre de grandeur, les marteaux par ordre croissant de poids. J’ai trié tout ce qui pouvait se trier dans la maison : clous, vis, boutons, punaises (par couleurs), slips.. Je commence à voir flou.

JOUR 14

Mercredi 1er avril. On continue sur le passé simple. La décence m’oblige à me taire. ..

JOUR 15
Je rédige une lettre à l’attention du pape pour faire canoniser la maîtresse de mon fils. J’ai envie d’écouter Céline Dion en passant l’aspirateur dans le garage. Je crois que ça va pas le faire.

JOUR 16

Vendredi 3 avril. « Les enfants prenâmes le goûter sur la terrasse ». Bon c’est fois-ci c’est clair, Mathis n’aura pas non plus le prix Nobel de littérature... J’ai envie d’épouser sa maîtresse...je crois que je commence à délirer...
Léa regarde la télé H 24.
Mathilde a commencé une pièce montée à cinq étages. Je le sens pas trop. J’ai déjà pris cinq kilos...

JOUR 17

Samedi 4 avril. Je crois que j’ai chopé un Gilles de la Tourette avec ce putain de passé simple de merde !
La pièce montée s’est cassé la gueule.
J’ai des hallucinations, les dessins de ma fille me parlent !

JOUR 18

Dimanche 5 avril. Pour la première fois de ma vie, j’ai prié Dieu...

JOUR 19

J’ai bouffé la page du livre de conjugaison. Problème réglé...

JOUR 20

Passé la journée à chercher le chien, on l’a perdu !

JOUR 21

Merde, c’est vrai, on n’a pas de chien ! J’attaque ma cinquième bière de la journée.
Léa ressemble à un lapin qui aurait attrapé la Myxomatose.

JOUR 30

36 mars. Je suis sûr d’avoir vu passer la maîtresse de Mathis dans la pâture derrière chez nous : elle promenait son Bescherelle en laisse.
Je vais reprendre un ricard …

JOUR 31

J’ai les dents qui grattent, je transpire des yeux. Je me rends compte que mon slip est à l’envers. Comme je le porte au-dessus mon pyjama, j’ai l’air encore plus con.

JOUR 32

An 3020 après ma belle-mère. Plus de farine dans les magasins, Mathilde est prostrée sur une chaise dans la cuisine, elle fait la conversation au four.
Mathis essaye de diviser le passé simple. Léa bave devant la télévision. Les stocks de Ricard sont épuisés. Au secours...

JOUR 40

37 avril 2028. Oh putain on a remonté le temps ! Il se passe des trucs bizarres... Il y a une dame dans ma cuisine qui pleure en regardant le four, je ne sais pas du tout qui c’est. Et cette petite assise dans le coin qui regarde en ricanant, elle me file je jetons. De toute façon je ne sais plus comment je m’appelle. Je ne sais même plus pourquoi j’écris. C’est la fin...

JOUR 50

Il s’est passé quelque chose. Il y a des gens partout, on entend « c’est fini ! », « C’est fini ! », « Plus de confinement ! ». Je ne sais pas ce qu’il se passe. Je sors pour voir. Je m’y reprends à trois fois avant de savoir enfin passer la baie vitrée. Je respire à pleins poumons. Je tombe dans les pommes. Direction les urgences.

JOUR 60

Vendredi 15 mai. Reprise du travail depuis une semaine. Mathilde, Mathis et Léa vont bien. La vie a repris son cours normal, si ce n’est que j’ai du cholestérol, du diabète, des troubles de la personnalité (mon double ne parle qu’au passé simple et cherche à diviser tout ce qu’il peut, c’est un peu pénible...) Mais bon nous en sommes sortis vivants ! Rendez-vous demain chez la psy, 15h30...

 source↗

Perso je n'écoute plus les infos (je les passe en revue vite fait) et je ne prends QUE ce qui me fait rire  

 

 

Brexit : c'est drôlement simple !

Publié le par Pipiou

(merci MD  ;) 

ça m'a bien fait marrer, c'est pourtant simple  he cool   

(problème avec la vidéo intégrée, je mets le lien/renvoi à la page,

et tu regardes la  vidéo↗  (1mn47)

 

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