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bernard

Lu : Nous les dieux (1/3)

Publié le par Pipiou

Lu : Nous, les Dieux (1/3)

 

(Trilogie : Tome I) Bernard Werber, 468 pages :

"Quelque part, sur l'île d'Aeden. Perchée sur un haut plateau, une ville: Olympie, son Ecole des Dieux avec ses professeurs : les 12 dieux de la mythologie grecque.
La nouvelle promotion ? 144 élèves dieux qui doivent développer  leurs peuples respectifs et s'affronter à travers eux...
Mais à côté du jeu et de l'apprentissage des Dieux, la vie sur Aeden n'est pas le paradis..."

La mythologie grecque, les Dieux, ça me plait bien, allons-y pour l'aventure ! Ha bin zut alors : déçue ! "L'insertion encyclopédique" me plait pas plus que ça, et surtout ça n'apporte pas grand chose (ou alors j'ai rien compris, ce qui est possible aussi !)  Petit à petit l'histoire prend forme mais c'est long, des aventures bizarres et un peu bof d'une narration trop lente, plein d'imaginaires qui se mélangent. Peut-être trop ? Parce que je m'y perds un peu...

Une école des Dieux où j'ai pas envie d'aller, c'est con ! Parce que j'ai du mal à l'intégrer ? 

(je suis en train de lire le Tome 2 : Le souffle des Dieux.)

 

Lu : Les fourmis

Publié le par Pipiou

  ("Les Fourmis" Bernard Werber, Poche,  352 pages)

"Edmond Wells, entomologiste coupé de la civilisation, est retrouvé mort, couvert de piqûres de guêpes. Sans enfants, il lègue à son neveu sa maison, assortie d’une recommandation écrite : « Surtout ne jamais aller à la cave ! ». Jonathan, installé dans la demeure familiale avec sa femme et son fils, se laisse pourtant tenter et il descend au sous-sol.
Pendant ce temps-là, tandis que sa Cité se remet en route tranquillement après une longue hibernation, 327e, fourmi mâle sexuée, connaît un réveil un peu houleux. Lors d’une expédition d’exploration, toutes ses compagnes ont été tuées, sans avoir le temps de riposter ou de se défendre. Innovation technologique d’une fourmilière adverse ? 327e mène son enquête..."

Le tout premier Werber, je ne l'avais pas encore lu ! Les 150 premières pages... mais petit à petit j'aimais de moins en moins le récit de 327e (la fourmi) : épopée guerrière et ambiance à la fois excitante d'aventures pour un si petit être vivant, mais un peu angoissante. Parce Werber réussit à humaniser une fourmi, et que j'ai des fourmis dans le jardin !

Il ne m'en fallait pas plus, sauf que je voulais absolument "savoir" la fin du livre et ce qu'il était advenu de Jonathan ! Alors j'ai passé tous les passages des fourmis et de 327e (la honte !) pour ne lire qu'une histoire haletante, typique de Werber : on est dedans, on y croit, et on referme le livre en se disant "la vache" !