Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

air

Orages... ô désespoir !

Publié le par Pipiou

Y'a de l'orage dans l'air : facebook refait des siennes ! (ou continue l'air de rien ?)
Toujours est-il que des messages privés se retrouveraient visibles... alors qu'ils ne le devraient pas (mais alors pas du tout ! lol)

Voir l'info...

Mais y'a aussi du désespoir : quand on voit certains messages devenus visibles... je ne sais pas s'il faut rire ou pleurer ! Sérieusement, faut-il être abruti pour raconter des trucs personnelles sur facebook !!!

Voir l'impensable... (paragraphe "c'est dramatique")

Mais quelque part, c'est pas mal : si ça peut faire comprendre aux internautes que facebook fait ce qu'il veut, quand il veut... : je ne crois pas un seul instant ni à la confidentialité permanente, ni à l'effacement, ni à la suppression : imaginez seulement... la mine d'or que ça représente !!

Il suffit de faire la cueillette... de toutes les bonnes poires

 

Puissance du vent...

Publié le par Pipiou

On est dedans : c'est la tempête ! Mardi 4h du matin, début des hostilités... On entend les rafales s'affaler et la pluie qui dégouline sous les bourasques...

Résultat : une palissade (environ 12m de long, plein ouest) à moitié couchée ! Ouf, les poteaux des deux extrémités ont tenu bon, c'est au milieu que ça s'est couché : deux poteaux cassés au ras du béton ! Et comme les extrémités n'ont pas plié, c'est les socles du milieu (50 kg de béton par poteau !) qui se sont soulevés, embarqués par la palissade qui se couchait !

On a rafistolé en mettant des piquets derrière pour pousser et des cordes devant pour tirer et ainsi maintenir la palissade verticale. Ca a l'air de bien résister, tant mieux ! On a donc tout l'hiver pour trouver une solution plus tenable... dans le temps !

Et la tempête Joachim est passée de 20h à 6h ce matin : si la palissade a tenu bon, un arbre s'est cassé, il repose délicatement sur une haie ! Nuit agitée de bruits et d'inquiétudes, c'est fatiguant !

Incroyable puissance... de l'air : c'est pas que du vent...