Lu : Scarpetta
de Patricia Cornwell
Mon 16ème "Scarpetta" !
Celui-là est traité, certes comme un polar, mais est plus analyste que les précédents. Et pour cause "Scarpetta" c'est le nom de la médecin légiste, héroïne de la série des polars.
"Oscar Bane a exigé son admission dans le service psychiatrique de l'hôpital de Bellevue. Il redoute pour sa vie et prétend que ses blessures lui ont été infligées au cours d'un meurtre ; meurtre qu'il nie avoir commis. Il ne se laissera examiner que par Kay Scarpetta, médecin légiste expert, l'unique personne en qui il ait confiance. Parallèlement, une femme a été tuée... Une vérité s'impose au fil de l'enquête : le tueur anticipe avec précision où se trouve sa proie, ce qu'elle fait, et pire encore, les avancées des enquêteurs..."
Certes une n-ième enquête. Mais ayant lu tous les précédents, d'un point de vue purement "relationnel humain" celui-là m'a plû, contrairement aux 3 ou 4 précédents ; En fait, Scarpetta, c'est toute une histoire qui démarre dans le célèbre "Post Mortem" et qui, si elle continue dans chaque bouquin suivant, c'est survolé et ça devient moins prenant. Donc, au bout d'une dizaine, j'ai eu l'impression d'avoir fait le tour et que ça devenait "des polars, point". Bien m'en a pris de persister... Dans "Scarpetta" les liens humains reprennent le dessus, tant par les interrogations personnelles que par les non-dits.
Un bon Cornwell, j'ai eu hâte d'aller au bout, sinon pour l'élucidation "meurtrière" pour le relationnel perdu. (A lire sans avoir lu les précédents, je ne sais pas ce que ça donne).