Ministère culturel : sans Rayponce ?
Haaa la culture... son ministère en fait les frais parce que Mme Filippetti a mis les pieds dans le plat ! C'est sûr que ces dépenses ne sont pas prioritaires dans la conjoncture actuelle, si ce n'est la "construction" elle-même qui génère un peu de boulot. (source)
Des millions (et des millions) non dépensés, ça se défend largement. D'autant que la remise à plus tard n'a rien de gênant, ça laisse le temps de se pencher... sur tout ce qui sert à rien ! Sauf que le ministère de la culture représente un monde... comment dire... complexe. (on va dire ça ;-)
De par sa nature puisque la simple définition du mot "culture" est subjective (par exemple pourquoi l'école ne serait pas dans le ministère de la culture ? bonne question non ?), et aussi de par son intérêt... lié à cette définition subjective : pas facile d'entrer dans cet univers et de s'y retrouver... Encore que, ça dépend de l'intérêt en question. (on y comprend plus rien !) (ha bin oui, c'est ça le monde de la culture !)
Donc, évidemment que ça va ronfler dans les cheminées culturelles : chacun veut tirer profit d'une manne... exonérée de tout un tas d'impositions parce que bien nommée/répartie comme il faut. Zut, va falloir calculer autrement... Si la ministre semble se poser les bonnes questions, on dirait que ses administrés n'ont pas envie de cautionner la réponse...