Lu : Nous étions les hommes
(clic) |
Gilles Legardinier, Pocket, 463 pages "Dans un grand hôpital d’Édimbourg, le docteur Scott Kinross et la généticienne Jenni Cooper travaillent sur la maladie d’Alzheimer. Alors que le mal progresse à un rythme inquiétant, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes, leurs conclusions sont effrayantes : si ce fléau l’emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra. |
Encore une nouvelle facette de Legardinier, facette que j'ai appréciée. Certes un premier chapitre un peu suspen'goissant (c'est un thriller, ça tombe bien) mais après c'est plus calme pour l'imaginaire et c'est tant mieux. Une histoire que je dirais crédible parce que concrète via un sujet d'aujourd'hui, avec les tenants et les aboutissants d'un terrible enjeu : la santé.
L'humanisme scientifique croise forcément la route du pouvoir financier, qui, bien que tout aussi scientifique, voit l'humanisme d'un autre œil...
Un chapitre m'a carrément interpellée grave, je l'ai relu deux fois et j'ai pensé à chaque fois "la vache !" Mais comme je n'aime pas "dévoiler" ça fera peut-être l'objet, un jour au gré de mes pensées en vrac (ou de l'actu ?) d'un article dédié.