Lu : Jamais deux sans trois (n° 16)
|
M.C. Beaton, 303 pages, Albin Michel "Lasse de courir après des chats et des chiens égarés, Agatha accepte la sollicitation d'un certain Robert Smedley : cet homme fortuné est persuadé que son épouse le trompe. Rien de plus tentant pour notre extravagante Agatha que de coincer la jeune, jolie et très dévote Mrs Smedley, un peu trop parfaite pour être honnête. Mais c'était compter sans une autre affaire de disparition qui lui tombe sur le coin du nez. Jamais deux sans trois ?" |
L'agence de détectives d'Agatha marche bien, et les nouveaux personnages, recrutés par Agatha, donnent de la teneur aux événements. Si les aventures d'Agatha Raisin peuvent donner l'impression de se répéter, les personnages qui l'entourent prennent vie et enrichissent l'ensemble, c'est plutôt positif, parce que dans le même esprit et le même humour.
Pourtant bizarrement j'ai pas accroché plus que ça à ce tome 16, je l'ai lu sans réussir à vraiment rentrer dans l'aventure, ça m'a paru un peu alambiqué. Sympa et fidèle à l'esprit d'Agatha mais un peu bof... jusqu'à ce que je lise les 3 derniers mots de la dernière ligne de la dernière page qui relancent Agatha et le lecteur (s'il lit les bouquins dans l'ordre)
deux... trois... Vivement le 17