Lu : God Save les françaises
Stephen Clarke, 480 pages
C'est le 2eme (d'où le "new" year) zut, je savais pas qu'il y avait un 1er (c'est malin !) où Paul West débarque à Paris et découvre les français.
Dans celui-là "Paul a trouvé la Française de ses rêves. Elle n'a qu'un défaut : ses parents. Et même s'il jure ses grands dieux que l'empoisonnement de sa belle-mère n'était pas prémédité, sa fiancée ne le regarde plus tout du même œil... Il n'a pas renoncé à ouvrir son salon de thé mais il prend du retard car tout ne se passe pas comme prévu... Paul va se trouver confronté aux travaux, à la bureaucratie, et à l'esprit féminin..."
Je m'attendais à rire, j'ai seulement souri... pour de vrai ! J'ai pas aimé le côté "le mec qui ne pense qu'à ça" : c'est lourdingue : une allusion toutes les deux ou trois pages et parfois comme un cheveu sur la soupe parce que systématique, super bof. Par contre, pas mal d'humour, j'ai failli dire "humour anglais" non (dommage), je dirai plutôt humour bien pensé :
-"M'ayant ainsi remis à ma place, elle a tourné les talons pour reprendre ses occupations ménagères, et je dois admettre qu'à cet instant, l'idée d'un matricide a un peu plus qu'effleuré mon esprit"
- "Les Français aiment à dire que le client est roi. Le problème, c’est que l’on sait comment ils ont traité leurs souverains dans le passé."
Lecture mitigée : du très sympa... mais trop de petits bof.