C'est "stop". (ou encore ?)
Après une période d'incertitudes et de jeu de dupes de part et d'autres, le référendum a eu lieu : c'est non.
Et bin voilà : suffisait de demander.
Maintenant que c'est clair, en fait ça l'est pas vraiment, suffit de voir les titres :
- Après la victoire du "non" en Grèce, des heures de rendez-vous européens
- Victoire du "non" au référendum : le ministre des Finances grec démissionne
- Cambadélis qualifie Sarkozy "d'excité du bocal"
- Tous les regards se tournent vers la BCE
- "L'univers entier rigole des Européens", lance Mélenchon
j'ai l'impression qu'on va entrer dans une zone de sables mouvants... et qu'on n'a pas la topographie des lieux... ha mais c'est peut-être pour une télé-réalité ? parce que ça va être scruté de partout et les médias vont s'en donner à cœur joie !
et on va n'y rien comprendre... encore.