de Bernard Werber

Le côté sympa, c'est les nouvelles : des historiettes plus ou moins longues, que l'on prend toujours (globalement) plaisir à lire. Le côté moins sympa, j'en vois pas. Bon, bien sûr, y'a des textes où j'accroche pas trop, mais c'est pas dû à l'auteur, c'est dû à l'histoire que j'aime moins !
Werber ? à mon avis quelqu'un qui a tout compris dans ses écrits : j'aime bien ses hallucinantes évasions... qui semblent si réelles  : toujours aussi sympa !

J'ai bien aimé la nouvelle où il est interdit de se souvenir... du passé... c'est à la fois curieux et effrayant parce que tellement crédible... il a des comptes à régler ou c'est un vrai fan ?

Ses écrits remettent en cause le vécu aux habitudes si évidentes : "et qu'est-ce qu'il se passerait si..." et comme ça part de quelque chose de concrêt, c'est diaboliquement cohérent ! Diaboliquement parce que justement... ça fait peur de crédibilité !

On se promène dans le monde d'aujourd'hui : entre le "futur possible" où un chemin est pris et après tout pourquoi pas ? ; et le "passé probable" où le chemin est peut-être celui qui a été pris...

Du Werber comme je l'aime (même si je l'aime un peu plus drôle), ses écrits sont très réalistes : je plonge dedans à chaque fois, et ça c'est cool