• (clic)

          

    John Grisham, 420 pages, Ed° JCLattès

    "Bruce Cable possède une librairie réputée à Santa Rosa sur l'île de Camino, en Floride. Bien que son affaire soit prospère, l'argent provient surtout du commerce de livres anciens et d'éditions originales. Peu de gens, toutefois, savent que Cable a parfois recours au marché parallèle dans sa quête d’ouvrages précieux. Lorsque des manuscrits de Francis Scott Fitzgerald sont dérobés à la bibliothèque de l'université de Princeton, Cable est rapidement suspecté par les enquêteurs. Mercer Mann, jeune romancière en panne d'inspiration, est contactée pour infiltrer le cercle d'amis du libraire. Sa mission : se rapprocher de l’homme et découvrir ses secrets. Mais Mercer va trop en apprendre, et les ennuis vont commencer."


    Re-voilà le Grisham que j'aime bien smile  j'ai été embarquée dès le début et ça m'a pas lâchée :)  Des livres rares, ça se partage pas, ça se convoite...  C'est rapide, sympa à lire, efficace ! Les jeux de patience se mettent en place pour mieux, chacun de son côté, jouer son rôle et gagner sa meilleure partie... Un peu d'humour par-ci par-là, autant de doutes que de certitudes, encore faut-il les démontrer pour retrouver le bon chemin des éditions rares...   

    le Fitzgerald c'est un bon cas : 

     


    2 commentaires

  • (clic)

          

    Michel Bussi, 480 pages, Ed° Presse de la cité

    "Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
    Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
    Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
    Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
    Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?"

    En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort..

    Comment dire... au début ça va mais ça devient long, et lent... donc de plus en plus long ! Les aller-retours entre 1999 et 2019, pfououou, j'avais l'impression que ça n'avançait pas et que je faisais du sur-place. À certains chapitres je me disais "encore ?" 
    Bon, la fin éclaire un peu sur le pourquoi du comment mais à part ça... j'étais contente d'avoir fini !
    J'aurais dû rêver tout court (lol) : 

     


    1 commentaire

  • (clic)

          

    Fred Vargas, 347 pages, Éd° J'ai lu

    "D'étranges signes tracés à la peinture noire sur des portes dans tout Paris. À première vue, on pourrait croire à l'œuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique.De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar-Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte à messages d'incompréhensibles annonces. Certains billets sont en latin, d'autres semblent copiés sur des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Et tous prédisent le retour d'un fléau venu du fond des âges..."

    Ce livre m'a été recommandé (merci S.) et j'avais beaucoup aimé, du même auteur, L'armée furieuse↗.  Mais là j'ai pas été aussi happée par l'histoire, ça m'a semblé un peu longuet, des avancées un peu trop lentes, et peut-être que j'ai eu du mal avec l'idée d'une propagation historique... c'est comme si j'avais lu le bouquin de loin
    Peut-être un recul nécessaire pour éviter de plonger dans l'angoisse de la noirceur ? Néanmoins une enquête comme on en n'a pas l'habitude, où l'Histoire se mèle à la Légende...
    Et bien qu'on le retrouve dans le bouquin, je trouve le titre un peu déroutant...

      
    Lu... pas trop vite et pas sûre d'y revenir :

    [bouquin paru en 2005, film paru, mais pas vu, en 2006]  

     


    2 commentaires

  • (clic)

          

    Stephen King, 147 pages, Éd° Le Livre de Poche

    "Dans la petite ville de Castle Rock, les rumeurs circulent vite. Trop vite.
    C’est pourquoi Scott Carey ne veut confier son secret à nul autre que son ami le docteur Bob Ellis. Car avec ou sans vêtements, sa balance affiche la même chose, et chaque jour son poids diminue invariablement. Que se passera-t-il quand il ne pèsera plus rien ?
    Scott doit également faire face à un autre problème : les chiens de ses nouvelles voisines ont décidé que sa pelouse était le lieu idéal pour faire leurs besoins. Entre le couple et Scott, la guerre est déclarée. Mais lorsqu’il comprend que le comportement des habitants de Castle Rock, y compris le sien, envers les deux femmes mariées met en péril le restaurant qu’elles ont ouvert en ville, il décide de mettre son « pouvoir » à contribution pour les aider."

    Je ne lis jamais de Stephen King : jai tenté mais j'y arrive pas, l'ambiance est lourde et ça m'angoisse rapidement ouch
    "Elévation" m'a été conseillé (merci MD) "vas-y, ça n'a rien à voir avec du Stephen King, ça fait pas peur du tout et c'est sympa à lire."
    J'ai fini par lire ce petit livre (plutôt une nouvelle qu'un roman) et ô surprise : je l'ai lu avec plaisir et c'est plutôt sympa ! Ce qui arrive à Scott est curieux et déroutant, pas évident de savoir comment gérer ça, tant pour soi-même que pour son entourage. Il va néanmoins décider de la voie à suivre et opte pour un chemin, qui sera le sien : s'en tenir à ce qu'on a choisi est-ce si facile ?
    [bizarrement j'aime pas trop la fin, je la trouve... dommage ?  t'as plus qu'à le lire he]

      
    ma première élévation à l'écriture de S. King  : 

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique