• ...Entre Noël et l'An, je me demande ce que c'est que la trève hivernale.

    Au début, c'est toute l'excitation de Noël, exacerbée par la fée électricité qui illumine tout et n'importe quoi : les leds consomment moins, du coup on les multiplie, ce qui permet d'arriver à la même conso en ayant, finalement, dépensé plus à l'achat. (c'est pas grave, maintenant on peut gagner de l'argent en revendant ses cadeaux !)

    A la fin, c'est toute l'excitation du Premier de l'An, exacerbé par l'esprit de fête... devenue commerciale. C'est la fête où le 31 est de mise (!) donc nouveaux achats pour être beau. Ce qui signifie quand même que sans la veste sur mesure ou la robe à paillettes (c'est à dire toute l'année), on n'est pas beau ;-)

    Hivernale certes, mais je me demande si c'est bien une trève finalement. Et une trève de quoi ? Sûrement pas commerciale. Ni quantitative. Parce que tout y est amplifié, dénaturé, démesuré, magnifié... Le "plus que d'habitude" est justifié par un rassurant "c'est Noël" ou un déculpabilisant "c'est le 31". Ce serait alors une trève des impératifs quotidiens où pendant une semaine, on oublie tout ?

    Ce qui est sûr, c'est que ces 7 jours aux extrémités festives, ça marche, et que c'est sûrement tant mieux, ça permet de ramer tranquillement (ou souquer ferme, ça dépend)... les quelques 358 autres jours !

     


    2 commentaires
  • lampadaire_noel2010

     

     


    6 commentaires
  • Google Actus = titre du Journal Le Figaro : Benoît XVI attaque la société permissive des années 70.
    Alors, évidemment attirée par ce titre, j'ai lu l'article mais j'ai eu du mal à relier l'article à son titre :

    (sujet en question : la pédophilie au sein de l'église, je recopie l'extrait relatif au titre du journal :)

    La solution, proposée par Benoît XVI, «pour nous opposer à ces forces» est de revisiter « leurs fondements idéologiques»: « Dans les années soixante-dix, la pédophilie fut théorisée comme une chose complètement conforme à l'homme et aussi à l'enfant», a-t-il rappelé. Constatant que «l'on affirmait -jusque dans le cadre de la théologie catholique- que n'existerait ni le mal en s oi, ni le bien en soi. Existerait seulement un “mieux que” et un “pire que”. Rien ne serait en soi-même bien ou mal. Tout dépendrait des circonstances et de la fin entendue. Selon les buts et les circonstances, tout pourrait être bien ou aussi mal. » Conception qui a provoqué une évolution culturelle majeure, « la morale est substituée par un calcul des conséquences et, avec cela, cesse d'exister». Et qui rend aujourd'hui, selon lui, «les effets de ces théories évidentes».

    Mais pourquoi tant de... guillemets ? Il faut s'accrocher pour suivre qui dit quoi ! Je me suis donc accrochée sur l'article entier pour finalement tomber de haut : pour moi, ce n'est pas une attaque de ces années là mais plutôt un constat sur la pensée en 70 (au verbiage papal dont le dictionnaire est plutôt biblique), sur les conséquences que l'on connait, sur ce sujet en particulier.

    Le titre a encore frappé : attirée par "Benoît XVI attaque la société permissive des années 70" j'ai lu l'article, mais ouf, grâce à Internet j'ai économisé l'achat du journal. Parce le mode de pensée de l'église n'est pas aussi terrestre que le nôtre, le résumer à ce titre est pour le moins réducteur. Comme quoi, les journaux ne sont pas neutres : leur but n'est pas, seulement (ou soi-disant ?) d'informer, mais bien d'attirer le lecteur... Hein Hannibal ?

     


    5 commentaires
  • LA question : Noël blanc ou pas ?
    S'il est une réponse qui ne fera jamais l'unanimité, c'est bien celle-là.

    Thèse : la neige, c'est magique, c'est tout blanc, c'est floconneux, c'est aérien, c'est la création de paysages éphémères.

    Anti-thèse : la neige, c'est galère, c'est gênant pour se déplacer, c'est froid, c'est glissant, c'est la paralysie imposée.

    Synthèse : bin, ça dépend ce qu'on fait à Noël !

    La seule chose dont je sois sûre, c'est qu'on ne peut rien contre les chutes de neige : Dame Nature vit sa vie et nous l'impose ; Le vrai cadeau de Noël, n'est-ce pas la neige ? (bin quoi, il y a aussi des cadeaux empoisonnés  ;-)

     


    4 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires