• Wikileaks (littéralement "site de fuites") a jeté la pierre... les medias se chargent de l'onde de choc !
    Je résume Wikipedia : WikiLeaks est un site Web de ressources et d'analyse politique et sociétale, à la fois ouvert et sécurisé, protégeant ses sources. Il se veut également une aide pour « ceux qui, en Occident, veulent porter à la connaissance, de tous, les comportements non éthiques de leur gouvernement ou de grandes entreprises ».

    Et voilà 250 000 rapports diplomatiques (confidentiels, ces rapports ont donc été volés) offerts aux medias petit à petit. (bin oui, 250 000 rapports, ça se lit pas rapidement !)
    Je m'interroge sur Wikileaks : une espèce de Robin des Bois "on line" ? Quelle est sa raison d'être ? si c'est la communication pure, alors pourquoi informer seulement l'Occident ? Si c'est la mise à jour de relations secrètes, dans quel (véritable) but ? Et de quoi vivent le site et ses sources ?

    Je pense aussi à la légitimité de l'information et la liberté de la presse. Peut-on vraiment tout dire ? Vaste débat où chaque partie défendra son profit. Parce que je pense qu'il est forcément question de profit quelque part, qu'il soit pécuniaire, matériel, relationnel, etc.

    Autant nous avons besoin d'être informés parce que nous sommes à 1000 lieues de nous imaginer le labyrinthe des hautes sphères qui nous gouvernent, autant chaque pays a ses stratégies, ses ressources, ses moyens, ses religions, etc, et je ne suis persuadée du bien-fondé de cet étalage : la dangerosité des conséquences est trop irrémédiable.

    Alors qui dit légitimité de l'information pense "conscience collective" ou "conscience individuelle" ? Le bien fondé de l'un ne va pas forcément avec l'autre. Où est la prudence rationnelle ? Un jeu de la vérité qui fait peur parce qu'aujourd'hui sans limite. Et quand y'a pas de limite, c'est incontrôlable. Ca promet !

     


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  • Livres lus de Amélie Nothomb

    "il n'y a pas d'échec amoureux" A mon avis, le bouquin démontre le contraire !

    C'était mon premier Nothomb et pfouou, j'ai pas dû prendre le bon ! Perso j'ai trouvé ça nul, vraiment. L'avantage c'est que je l'ai lu en deux fois : à croire que les gros caractères ont été utilisés pour combler l'espace... vide.


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  • Livres lusde Harlan Coben

    Sans un mot : "Jusqu'à quel point connaît-on vraiment son enfant ? Mike et Tia ne cessent de se poser la question : leur fils Adam, seize ans, a changé. Réfugié dans sa chambre, il ne quitte plus son ordinateur. Malgré leurs réticences, ils se décident à installer un logiciel de contrôle. Un jour, un mail inquiétant. Et Adam disparaît. Sans un mot... C'est alors que tout bascule."

    Autant ce pitch m'a plû, autant c'était du Coben, donc pour moi "ça va être super". Raté !

    Plutôt compliqué : plein de personnages aux histoires qui n'ont aucun lien, j'ai trouvé ça très embrouillé. D'autant que l'ambiance du début est plutôt lourde, un peu trop pour moi, donc ça m'a ouvert les portes du "ça me met mal à l'aise, j'ai pas envie de lire"... portes qui ne sont pas vraiment refermées au fil des pages, dont l'aboutissement n'est pas transcendant.

    Déçue :x mais ça me semble presque logique : c'est pas un "Myron Bolitar" !

     


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  • Ou l'onomatopée saisonnière qui est mienne en ce moment.
    Outre ce bruitage, plus ou moins bruyant d'ailleurs, le nez dévoile d'un seul coup ses amis proches : les yeux, qui, mécontents d'une voie nasale un peu bouchée, se mettent à larmoyer pour rien, et la gorge qui, à l'étage du dessous, subit la mauvaise circulation verticale et donc, s'engorge d'une toux guturale.

    Les kleenex sont partout pour être pas loin, la tête est embuée par un nuage de coton, le dos est fourbu (mais de quoi ?), pendant que l'aspirine et le doliprane se font des politesses dans la suite de maître fervex...

    Qu'il est pénible le temps du rhume !

     


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